15.5.10

Cannes.

(Le clavier francais et moi, ça fait deux.)

Cannes pue la guédaille et l’huile de bronzage. Je trouve un peu obscène toute cette abondance, les gros bateaux de millionnaires, les petits caniches teints en rose et en bleu, les cigares, le botox... et le catalogue de la Quinzaine qui se vend à 10 euros. Marde.

J’ai croisé ma premiere vedette à Cannes : Suzanne Clément (Les hauts et les bas de Sophie Paquin). Hum. Je garde l’œil ouvert.

Le pilote d’Air France a annoncé le score de la finale Canadiens-Penguins en atterissant à Paris jeudi matin. Applaudissements, cris de joie. P’tit frisson nationaliste.

J’ai vu Les amours imaginaires, le dernier film de Xavier Dolan, dans une salle de 860 places pleine a craquer. J’ai pas mal plus ri que mon voisin, qui ne comprenait rien à l’accent (le film était sous-titré en anglais seulement) et qui est parti au milieu de la représentation. Nouveau petit frisson nationaliste en entendant un personnage évoquer le métro Henri-Bourassa.

Je n'ai pas encore d'anecdote de monsieur qui se lave la zoune à raconter. Je garde l'oeil ouvert.

4 commentaires:

Anonyme a dit...

Hélène Florent ne joue pas dans Les hauts et les bas de Sophie Paquin. (Mais Suzanne Clément, si.)

Anna a dit...

Si tu as la chance de t'éclipser en train, il y a tellement full of pretty beaches sans touristes ni vedettes, entre Nice et Monaco.

William a dit...

Princesse: J'veux pas répondre pour Anne, mais il faut dire qu'elle a gagné une passe "all-access" pour le festival, alors j'imagine que c'est difficile de se sauver. Quand t'es étudiante en cinéma et que tu peux littéralement toucher à Brad Pitt...

Anna a dit...

aaaah. Je préfère Ryan Gosling.