Et après, tu lis un article du
New Yorker qui déplore le fait qu'à partir du moment où ils ont accepté de faire sauter un gars par-dessus un char pour qu'un de ses coéquipiers lui passe le ballon par le toit ouvrant, le concours de slam dunk ne peut que plafonner. Au risque de paraître naïf, j'ai l'impression qu'il n'y a justement pas de plafond, pour ces gars-là.
3 commentaires:
C'est une illusion: le char est plus loin derrière, il ne saute pas par-dessus. Mais il saute haut et loin pareil, tsé.
max
Waaa, ce corps en slow motion suspendu au panier.
C'est presque ça l'éternité.
À Max: En fait, pour l'avoir vu sous d'autres angles, il saute vraiment par-dessus le capot. Mais, en lien dans les commentaires de l'article du New Yorker, il y a un vidéo (un peu long) d'un joueur de l'Europe de l'est qui l'a fait de façon pas mal plus légitime (mais moins esthétique, disons) avec une auto, après l'avoir fait avec une moto sur laquelle il avait fait s'asseoir une Greta plus ou moins willing.
Catherine: C'est beau hen? Il y a d'ailleurs d'autres vidéos du même événements au ralenti comme ça (le titre commence toujours par "PHANTOM"). Ça doit être facile à retrouver. Je trouve que ça rend tout à fait justice à la nature de l'exploit. Il y a quelque chose de fascinant, je trouve, dans la force d'impulsion de ces athlètes. C'est élégant.
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