
En tout cas, on a terminé l'année en beauté du côté des Townships. Il y a quelques semaines, tandis que L'actualité faisait de votre humble serviteur une des 35 nouvelles voix qui ont bousculé le roman québécois, Marie-Claude Fortin, de La Presse, classait Épique parmi ses cinq (ou six) découvertes de l'année. Ma tante Jackie avait l'article, avec la photo de ma grosse face en plein milieu d'une rue fermée de Laval*, sur son frigo durant tout le temps des fêtes. Ensuite, c'est Le Devoir qui, dans son dernier tirage de 2010, in extremis, le 31 décembre, a publié cette critique fiberglastante. Il y a pas à dire, j'étais prêt à défoncer l'année.
Enfin, il y a MJ qui part 2011 avec une lecture très le fonne du roman. Il faut d'ailleurs aller et retourner lire son blogue, en espérant qu'elle le laissera longtemps en ligne: un bel exemple d'oeuvre bloguesque cohérente et riche.
On dira ce qu'on voudra à propos de l'art pour l'art, de l'écriture pour l'écriture, du narcissisme, des médias et de leur façon d'aborder la littérature comme une saveur du jour, il demeure que rien n'équivaut au sentiment d'être lu. En ce sens, 2010 m'a été jouissive.
* Un merci tout spécial à L'abricot pour cette série de photos.
3 commentaires:
Épique a également fait un tour au Mexique pendant les vacances de Noël. Un petit coup de soleil et beaucoup de plaisir.
Wow! Que Bueno!
Beau billet, Will!
Par chez nous, on t'aime.
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